Syndicats Balmorréens :
Le SIO (équivalent FO) :
La branche dur du syndical, réputé anti-capitaliste, gauche de la gauche de la gauche, partons du principe qu'une décision sera forcément contesté par ces emmerdeurs de bases. Dirigé par Torian Norec, ancien résistant Balmorréen durant l'occupation impérial, il s'agit d'un homme approchant la cinquantaine, grande gueule, étaient assez influent dans les mouvements résistants sur Balmorra. Pour l'instant, on ne sait pas grand chose de lui, on sait qu'il possède un appartement sur Bin Prime et que c'est un métallurgiste de métier, ou il gérait une des chaînes d'approvisionnement au sein d'une entreprise de sidérurgie.
Souvent à l'origine de beaucoup de manifestations, c'est le syndicat le plus influent sur Balmorra.
Le DOB (Droit des Ouvriers Balmorréens - Equivalent CGT) :
On s'arrêtera à la gauche de la gauche caviar, un syndicat qui râle mais qui dans l'ensemble ce gère pas trop mal. Dirigé par Nedelec Pons, la cinquantaine, ancien directeur de production de Troïda peu avant l'occupation impérial, il s'agit d'un ingénieur qui a un peu de bouteille dans le métier est qui est un expert en management. Il cerne très bien les gens qui travaillent avec et pour lui et il bénéficie d'une belle côte de popularité sur Balmorra. Pour le moment, son image est intact... Souvent opposé au SIO, c'est leurs adversaires le plus redoutable d'un point de vue défenses des travailleurs.
Le CBDTP (Confédération Balmorréenne Des Travailleurs et du Patronnat - Equivalent CFDT) :
Les presque gentils, ceux qui sont ni pour ni contre, bien au contraire. Ils font tampons quoi, ils vivent dans un monde de bisounours ou tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Leur boss, Precious Rioux, est un ancien directeur de supermarché sur Sobrik. La cinquantaine dégarnis, rondouillard, connu pour être très naïf, s'est déjà essayer en politique, sans résultat... Les plus à même d'être sympa lors de potentiels négociations.